La ligne dans son infini, dans ses ruptures, dans ses turpitudes. Elle n’est jamais tendue tout à fait, comme une ligne de vie qui vibre, mobile et traversée de part en part. Des zones intimistes côtoient des « clairières de couleurs », totalement vierges parfois. L’humain, comme toujours est au cœur du propos, dans ses méandres, dans ses atermoiements, dans ses doutes. Les empreintes sur papier saisissent - s’il en était besoin - l’intimité pudiquement suggérée, comme un voile qui s’envole…